My dear friends...(Chapitre 15)

Publié le par Gmds

  "Si tu vis jusqu'à cent ans, je veux vivre cent ans moins un jour pour ne pas à avoir à vivre sans toi" Winnie L'Ourson (Vive les références moi je dis! lol)

 

 

 

Université de Pombridge. Parc. 13h05.

Après avoir mangé les sandwichs que Claire avait ramenés de la cafétéria, les deux étudiantes en Lettres Classiques décidèrent de prendre une petite pause de quelques minutes avant de recommencer à travailler leur pièce. Noémie avait peu de texte à apprendre, mais elle se devait d'être parfaite. Claire, quant à elle, devait s'entraîner sur les trois quarts du script. Etre l'un des personnages principaux de la pièce n'est pas de tout repos. Les deux amies s'allongèrent dans l'herbe et scrutèrent le ciel bleu, dénué de nuages, ce qui était plutôt rare à cette époque de l'année. Ce jour là, il ne faisait pas vraiment froid non plus. Soudain, le son d'un violon arriva jusqu'à leurs oreilles. Noémie se releva. Le morceau était parfaitement joué, sans aucune fausse note. la jeune femme, intriguée, décida d'aller voir qui se cachait derrière cet extraordinaire musique. Pendant ce temps là, Claire, trop absorbée à admirer les oiseaux voler au dessus de sa tête, ne vit pas son amie partir. Ce n'est qu'à partir du moment où elle déclara qu'il fallait se remettre à réviser, qu'elle se rendit compte de l'absence de Noémie. Mais où était-elle encore passée? Peut être aux toilettes. Claire décida donc de continuer à apprendre son texte, sans attendre son amie.

La jeune femme brune avança doucement pour ne pas effrayer le violoniste. Elle se rapprocha de plus en plus pour tenter de discerner sa silhouette. Elle se cacha derrière un arbre. Il jouait "L'été" de Vivaldi. Noémie se pencha. Elle découvrit Ren, debout, près d'un banc. Le jeune homme était concentré sur son morceau, et ne semblait pas voir les quelques personnes venues se rassembler autour de lui pour l'écouter jouer. L'étudiante n'osa pas s'approcher. Ren dégageait une sorte d'aura. Une sorte de magie. Tout le monde était attiré par les notes qu'il créait avec son violon. La jeune femme se retrouva en pure admiration devant son ancien amour. Un peu dégoutée aussi, de voir qu'il jouait si bien, bien mieux qu'elle. Elle l'avait toujours considérer comme un héros, et elle continuait de le considérer comme tel. Un sentiment de nostalgie l'envahit. Elle se rappella quelques souvenirs de l'époque où lui et elle étaient si proches. Finalement, Noémie reprit ses esprits. Ils semblaient être comme deux étrangers à présent. L'étudiante décida de rejoindre son amie, qu'elle avait laissé depuis plus d'une vingtaine de minutes seule.

Claire tentait désespéremment de faire rentrer ces fichues paroles dans son crâne. Elle n'en était qu'à la trentième page, le script en comprenant plus de cent cinquante. Aurait-elle le temps de tout apprendre avant la fête de l'université? Par moment, elle en doutait.

-Alors? Tu arrives à apprendre ton texte? demanda une voix. [ Les gens, il faudrait que vous arrétiez d'apparaître comme ça, parce que c'est flippant à la fin! Sale auteure! Arrête d'effrayer tes héroïnes! -Ok, petite voix intérieure, je vais t'écouter...]

Claire sursauta. [Tiens, qu'est-ce que j'avais dit!] Alexander lui sourit. La jeune femme se sentit mal à l'aise. Elle le salua poliment. Ce dernier, ne l'entendant pas répondre à sa question, se rapprocha d'elle.

-Tu as déjà pas mal avancé...Certains n'ont même pas ouvert le script! Je suis fier de toi! s'exclama-t-il.

L'étudiante se mit à rougir.

-Claire!!!! hurla Noémie en courant vers son amie. Elle passa à côté du jeune acteur suédois, sans le voir avant de se précipiter sur la jeune femme.

-Que se passe-t-il encore? demanda cette dernière.

-C'est Ren...Ren...Ren...il...il...

-Si tu pouvais arrêter de beuger, ça serait mieux pour ma compréhension...

-J'ai essayé de l'oublier!!! Je te jure que j'ai essayé! Mais je peux pas!!! Il est tellement magnifique, telement sublime, tellement exceptionnel, tellement...

-Je crois avoir compris, merci, la coupa sèchement Claire, qui remarqua la gêne d'Alexander.

Le professeur de théâtre s'approcha.

-Je pense que je vais vous laisser travailler à présent...lança-t-il avec un somptueux sourire.

L'étudiante aux cheveux bouclés lui rendit son sourire et le salua de la main. Noémie, quant à elle, suivit le suédois du regard, le pressant de partir pour qu'elle puisse continuer sa discussion. Enfin...son monologue visant à faire l'éloge de Ren en prose qui promettait d'être très, mais alors, très long.

 

 

 

 

 

 

Université de Pombridge. Faculté d'Informatique. Dortoirs des filles. Chambre de Marie-Anne. 13h15

  Anne-Sophie s'installa sur le matelas de Marie-Anne pour déguster le bentô qu'elle s'était fait le matin même. L'étudiante en Informatique, quant à elle, restait assise par terre pour manger son sandwich au poulet mayonnaise. Cette dernière raconta son étrange rêve, ou plutôt cauchemar, à son amie. Puis Anne-Sophie lui parla de sa deuxième rencontre avec Jin dans la bibliothèque.

-Mais ce que j'aimerais vraiment, c'est percer le mystère de sa "copine"...déclara l'étudiante en Médecine.

-Et ce qui serait l'idéal pour résoudre ce mystère, ça serait d'aller poser quelques questions à son ami Jonathan...proposa Marie-Anne, avec bien entendu, quelque chose en tête.

-Pourquoi pas...Tu sais où nous pouvons le trouver?

-Pas la moindre idée. En semaine, on pourrait essayer d'aller voir à son lycée...

-Et sur les trois lycées que compte Pombridge, dans lequel se trouve-t-il? demanda Anne-Sophie.

-Euh...Les racailles sont tous à MoucheVerte, les tradis à Saint-Cornichon, et les gens normaux à Sturlusson High School ( =] )... Il doit se trouver à MV vu son look, tu ne crois pas?

-Sûrement...Demain aprem je n'ai pas cours, ça te dit une petite sortie en ville? proposa Anne-Sophie.

-Pas de soucis! répondit joyeusement l'étudiante en Informatique.

Les deux amies se tapèrent dans la main, comme pour conclure un pacte. La chasse au Pantalon à Carreaux venait d'être ouverte. Pour fêter cela, elles décidèrent de prendre un verre de jus de fruit à la cafétéria. Elles sortirent du batiment, un sourire Colgate sur les lèvres. L'une heureuse de bientôt revoir l'homme de ses rêves, l'autre de percer les mystères qui entouraient l'homme de sa vie. [Mon Yandros...Qu'est ce que je suis en train d'écrire là...Bientôt en livre de poche par la même auteure que "My dear friends", "Comment être une parfaite nunuche"...Bref...Revenons à nos crocrodiles]. Alors que les deux amies se dirigeaient vers leur lieu favori du campus, Marie-Anne, toujours aussi douée de la vie, tribucha brutalement. Anne-Sophie tenta de la retenir, mais comme chacun sait qu'une masse importante tombe très rapidement sur le sol ( se référer à Newton) exposée à la pesanteur g [Il faut sérieusement que j'arrête mes bêtises là...], bref, tout cela pour dire qu'Anne-Sophie ne rattrapa jamais son amie en que celle-ci s'écroula lamentablement par terre.

-C'est un de tes passe-temps embrasser le sol? demanda une voix moqueuse.

L'étudiante en Médecine se retourna et l'effet de surprise fut tel qu'elle ne put fermer sa bouche pendant au moins une bonne minute. Marie-Anne se releva tant bien que mal ( surtout mal) et époussetta ses habits. Son jean s'était troué au genou. Super, elle allait devoir demander à Claire de le recoudre pour elle, car toutes ses économies avaient été dépensées dans le dernier Final Fantasy.

-Je ne passe pas mon temps à embrasser le sol, je passe mon temps à compter le nombre de fourmis qui se promènent à mes pieds, c'est aussi simple que ça...répondit-elle.

Elle fit demi-tour pour découvrir à qui appartenait cette voix si familière. Jonathan se tenait assis en bas des marches de la faculté d'Informatique, dos contre le marbre et les jambes allongées. La jeune femme ne sut quoi dire.

-Vous tombez à pic! s'exclama-t-il. Sans vilain jeu de mot, pour ceux qui s'écroule réellement. Je cherche Jin? Vous savez où est le bâtiment de la faculté de Géographie?

Marie-Anne ne répondit pas. Est-ce le destin? Etait-il sa destinée? Comment pouvait-il être là? Comment pouvait-il la faire tribucher une seconde fois (Ben, à la fois, étant donné qu'on parle de Marie-Anne là, c'est pas bien compliqué...)? Tout cela était un coup du destin, la fatalité...Les yeux de la jeune femme se mirent à briller d'espoir, alors que le lycéen la dévisageait bizarrement.

-Elle se sent bien ta copine? demanda-t-il à Anne-Sophie.

-C'est son état habituel, il ne faut pas s'inquiéter... La faculté de Géographie est au bout de l'allée principale. Tu suis les fontaines jusqu'à arriver face à la rivière. Tu tournes à droite. C'est le deuxième bâtiment, expliqua-t-elle.

-Ok, merci à toi! Bye bye! lâcha le jeune homme en leur tournant le dos pour reprendre la route.

Soudain, Anne-Sophie repensa au plan qu'elle et son amie venaient d'élaborer.

-Jonathan! Attens-nous! On va t'accompagner!!! hurla-t-elle en courant vers le lycéen, comptant bien récolter quelques réponses concernant le beau Jin.

Marie-Anne la suivit, enfin, LE suivit, comme un âne derrière une belle et grosse carotte.

 

 

 

 

 

 

  Université de Pombridge. Club d'Aviron. 13h14

  Candice se précipita en courant dans le hangar. Elle était encore en retard. Elle trouva Agathe, à côté de leur double, qui l'attendait patiemment.

-On avait dit...commença cette dernière.

-Je sais, je sais...On avait dit 13h10.

L'étudiante en Histoire courut attraper sa paire de rames. Elle eût un peu de mal à réussir à les récupérer sans encombre. Quelle idée de les avoir placer si haut sur le mur! Ce n'était pas parce que la majorité des rameurs mesuraient plus d'1m85 qu'ils fallaient installer ces rangements si haut! Elle prit un siège et un gilet, puis se dirigea vers le bateau, déjà amené sur le ponton. Sa coéquipière et elle installèrent le matériel.

-Je vais nous marquer sur le cahier des sorties! Je reviens tout de suite! annonça Candice. Elle remonta vers le hangar et trouva sur une table le fameux cahier. Elle s'empara du stylo posé à côté et écrivit leurs deux noms.

-Ah tiens, Candice! je te cherchais! s'exclama le capitaine du club, qui venait de rentrer dans le hangar.

-Je prends le bateau à moteur avec Noëlie pour suivre l'entraînement de Thomas et Mathieu. Or, j'ai des sponsors importants qui doivent appeler. Je leur ai donné ton numéro pour qu'ils puissent te joindre.

La jeune femme écarquilla les yeux. Il rigolait n'est-ce pas? Cela ne sentait rien de bon.

-Euh, Capitaine...je vais également sur l'eau...Vous voulez dire qu'il faut que je garde mon portable sur moi, même sur le bateau? Et que dois je dire à vos sponsors?

-Exact. Tu n'as qu'à leur raconter ta vie, c'est passionnant. Bon, je te laisse, annonça Monsieur Mort-guens-terne, en récupérant les clefs de son bateau.

Noëlie arriva quelques secondes après, toute contente de pouvoir aller sur l'eau elle aussi. Elle s'empara des gilets et du bidon d'essence. Soudain, elle remarqua l'étudiante en Histoire, totalement figée et désorientée.

-Je dois leur dire quoi, moi, aux sponsors? Il est drôle le Capitaine! Je vais me faire tuer si je ne réponds pas correctement à l'appel en plus...Il a trouvé son bouc émissaire...Pourquoi moi??? se plaignit la jeune femme.

Son amie posa une main compatissante sur son épaule.

-Pourquoi il a pas donné ton numéro? demanda soudain Candice, qui savait très bien que l'étudiante en Science du Langage ne ramerait pas et aurait les deux mains libres, contrairement à elle.

-Mon téléphone est mort...répondit-elle rapidement, avant de s'en aller comme une voleuse vers le bateau à moteur, avec un sourire malicieux.

-J'y crois pas! souffla la jeune femme aux yeux bleus.

Finalement, elle abandonna le combat et repartit vers son bateau. Elle vérifia que son portable ne risquait rien dans la poche de son short et monta dans l'embarcation, en même temps que sa partenaire de course. Les deux jeunes filles arrangèrent leur position, et poussèrent le bateau, afin de quitter le panton. Les deux jeunes femmes commencèrent alors à ramer à l'unisson. Le vent soufflait face à elles, ce qui leur permettait de ne pas fournir d'effort trop intense.

Après plusieurs minutes et plusieurs kilomètres parcourus le long de la rivière, les deux sportives s'accordèrent pour faire une pause, reprendre leur souffle et boire un peu. Un peu plus loin, en sens inverse, elles pouvaient distinguer le bateau à moteur qui suivait l'embarcation de Thomas et Mathieu. Soudain, le portable de Candice sonna. L'étudiante en Histoire, n'aimant pas trop parler au téléphone, hésita plusieurs secondes avant de répondre. Appel inconnu. Cela devait être les sponsors. Elle décrocha.

-Oui? Ici, Candice.

Sa partenaire se retourna, étonnée de voir que la jeune femme avait gardé son portable sur elle.

-Oui...

La jeune fille aux yeux bleus hochait la tête, écoutant attentivement ce que ses interlocuteurs avaient à lui dire.

-C'est pas vrai? Vous êtes sûrs? s'exclama-t-elle brusquement. Merci, merci beaucoup! Je suis vraiment contente. Oui,oui. Au revoir.

Elle raccrocha, et hurla tout ce qu'elle pouvait. Agathe sursauta et se boucha ensuite les oreilles. Les passanst qui circulaient le long de la piste cyclable se tournèrent vers elle, se demandant ce qu'elle avait pu voir d'effrayant. Monsieur Mort-guens-terne et Noëlie arrivèrent très vite dans leur bateau. Thomas et Mathieu accélèrent le rythme pour venir en aide aux deux jeunes femmes, qui en fait, en avaient nul besoin. Quand tout ce petit monde fut arrivé au niveau de l'embarcation, ils s'inquiétèrent pour les deux rameuses, et demandèrent ce qui s'était passé. Candice, quant à elle, bondissait de joie, sans se préoccuper de ses compagnons. C'est finalement son ami d'enfance qui mit fin à son moment d'euphorie.

-Miss Catastrophe! Explique-nous ce qu'il se passe! lui ordonna-t-il.

-J'ai gagné une place pour le concert des Super Junior le 10 juin!!! Quel bonheur! Je vais pouvoir voir Kyuhyun, et Donghae, et Siwon...répondit-elle, surexcitée.

-Quelle folle...soupira Mathieu, rassuré que rien d'affreux ne soit survenu.

-Ce n'était pas les sponsors alors? demanda le capitaine du club.

Candice fit non de la tête.

-Mais le 10 juin, ce n'est pas le jour de la compétition nationale d'aviron? réalisa alors son amie rousse.

L'étudiante en Histoire pâlit. Puis hurla une nouvelle fois, mais de rage.

-NNNNNNNNNOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNNNNN!!!!!!!

La vie sur la rivière n'était jamais vraiment tranquille quand Candice se situait dessus, c'est ce que pensèrent tout ceux qui la connaissait.

-Agathe, je n'ai qu'une chose à te dire: Bonne Chance! annonça Mathieu, avant de reprendre les coups de rame.

La jeune le remercia d'un signe de tête, tandis que sa coéquipière pleurait à l'arrière du bateau. De la chance, elle allait en avoir besoin...

 

Publié dans Scenario de GmdS

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C
<br /> <br /> toujours ausi exellent. c'est sur que de connaitre newton permet d'eviter de nouvelle galette sur le sol.<br /> <br /> <br /> pauvre claire, faudra retenter ta chance une autre fois en verifiant tes arrieres. courage.<br /> <br /> <br /> le probleme de marie-anne c'est que c'est un mini-poulet et ça vole pas dc normal que son passe temps soit d'embrasser le sol... enfin de compter les fourmis sur le sol surtout qu'elle doit bien<br /> les voir.<br /> <br /> <br /> j'adore la phrase :comme un âne derrière une belle et grosse carotte. Pour marie-anne ce serit : comme un mini poulet suivant son coq a carreaux.<br /> <br /> <br /> j'adore aussi qd elle a les yeux qui brillent ça me fais trop penser à kyoko dans skip beat qd elle pense aux maquillages. j'imagine trop bien le truc.<br /> <br /> <br /> Jonathan est bien aussi mysterieux par contre lui aussi ardore le sol vu qu'on le voit tout le temsp par terre. '' une poule sur un mur qui picote du pain dur picoti picota ....'' desole<br /> elle me trotte ds la tete depuis que j'ecris se msg.<br /> <br /> <br /> Pauvre candice et pauvre habitant de la foret . ms on t'adores qd meme, change rien.<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Toujours aussi génial =) J'aime particuliérement ta petite voix intérieure! <br /> <br /> <br /> Snif méchante Nono qui m'empéche de conclure avec le sublissime Alexander =p <br /> <br /> <br /> Tout comme Le Pouley j'aime beaucoup le nom des lycées =)<br /> <br /> <br /> Pour finir je refuse d'être le larbin du Pouley et de recoucre ses pantalons! C'est pas ma faute si c'est un boulet!^^ <br /> <br /> <br /> <br />
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K
<br /> <br /> J'aime tes références! ^^<br /> <br /> <br /> La Martinique n'a pas arrangé ta schizophrénie, on dirait...<br /> <br /> <br /> Pauvre Claire... ;)<br /> <br /> <br /> J'aime le nom des lycées! Mais vu le nom du 3ème, je ne suis pas sure que le qualificatif adéquat pour désigner ses élèves soit "noramux"... Bon, ça dépend de la norme, mais bon ^^<br /> <br /> <br /> En parlant de Newton, ton fils a passé son tipe juste après moi vendredi dernier, donc je connaitraisa note demain. Tu veux que je le tape s'il a foiré son truc? (Vu qu'il est assez bon, il y a<br /> peu de chances que j'aie une raison de le faire, mais bon...). Sinon, je t'emmerde, j'assume mon manque de douité! Et j'aime pas les carottes. Et merci Anne-Sophie aussi. =)<br /> <br /> <br /> Candice, j'ai mal aux oreilles!! =)<br /> <br /> <br /> Pauvre Agathe, je la plains... Bon, pauvre toi aussi, mais bon... =)<br /> <br /> <br /> La suiiiiiiiiiiiiite!!!!! =) =) =)<br /> <br /> <br /> <br />
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